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bauhouse

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L'écriture est une délivrance qui, phrase après phrase, mot après mot, devient un esclavage.

Alain BOSQUET



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01.07





La liberté ne peut être que toute la liberté,
un morceau de liberté n'est pas la liberté.






... disait Max Stirner,
l'homme tué par une mouche.

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#Posté le lundi 20 avril 2009 19:07

01.54

Mon bandeau d'hippies. Des moleskine de toutes les tailles. Un globe ancien. La nuit des temps. Paris. Le site voyage-sncf.com, marcher, rigoler, les crayons, les vieux livres, mon chapeau de cow-boy, Pedro, les pleurs dans le métro, fumer, 10h48, Je suis ton père, les bonnets, DBZ, You make me sick because I adore you so, les déserts, les mers, le vide, vomir l'humanité, voyager, les pieds dans la poussière, les queues de castors, quatre minutes, Alfie, mes livres, la coréenne Khô, les poèmes de Tioma, Océan Mer, huile sur toile, 15 x 21,6cm, collection Bartleboom, Seth Cohen, la Birmanie, la chaleur, les maux de tête, les brûlures au poignet, manger des crèpes, les petits hôtels, le café, la spécialisation de la sensibilité à l'état matière première en sensibilité picturale stabilisée, les cigarettes, les lumières orangées, un camion, des obsessions, des histoires, les kinders bueno, prendre des douches brûlantes, les photos d'Ernst Haas, les films d'Almodovar, The OC, mes appareils photos, mes carnets, une mandarine, des nuits blanches, des cicatrices, des inconnus, une photo, de la haine, Daft Punk, les aristocrates libertaires, les révolutionnaires, les slogans, les solos de guitare, Romeo & Juliet, Mark Knopfler, écrire au stylo à plume, au bic noir, à la bougie, les sourires d'enfants, le théâtre, Aung San Su Kyi, le mystère des Bermudes, les pirates, Tu es et restera mon héros, l'appartement de Camille, les villes Mickey, les westerns, la vieille chanson américaine, le photojournalisme, la peur, la magie, Dumbo l'éléphant, Tu t'envoles, crever, pleurer, partir, revenir, saccager, les quais de Seine, les rues du Sud, le Prado à Marseille, Yamaska, Felix, les rencontres, mon t-shirt Little Miss Sunshine, Do you want to go to the seaside ?, les concerts, la voix de Matthew Bellamy, et celle de Patti Smith, la glace pilée, la pastèque, les cadavres de la réserve de Paracas, les légendes, les malédictions, l'histoire d'Elisabeth nièce de Dracula, oublier, crier, prendre les mauvais chemins, être hors la loi, Caroline, chanter faux, faire semblant, lire des mangas et des magazines économiques, désespérer, se taire, le raccourci de la touche 4 de mon téléphone, les vacances à la mer, les vacances à la montagne, la neige, faire du snowboard, l'eau, les fonds marins, le journal de Paul Klee, les peluches, se décourager, aller seule au cinéma, esquiver, et le jus de cranberry.
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#Posté le lundi 20 avril 2009 19:50

01.36



DO YOU WANT TO GO TO THE SEASIDE ?


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#Posté le mercredi 29 avril 2009 19:35

11.20

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#Posté le lundi 04 mai 2009 05:20

00.55



(extrait de J.A.E.L)



VOUS N'ETES PAS DES ANGES


Légende du désert d'Amon,
par Friedrich





Cessez donc de chercher le paradis, ses simulacres ratés sont tellement plus beaux.


Ce n'est pas une histoire, ni la vérité. C'est une émotion, l'instant où toutes ses belles certitudes s'écrasent. Elle peut regarder à droite, à gauche, derrière elle, et même en elle, de tous côtés il y a une guerre. Il y a une guerre dans ce désert qui ne veut pas se confesser. Il y a une guerre dans cet océan qui ne veut pas se prosterner. Il y a une guerre dans ce ciel qui ne veut pas mourir. Et au milieu de l'union de ces trois puissances asexuées, l'homme imposteur. Elle est ici sa vraie guerre, là où l'océan et le désert se rencontrent, là où les épées de ces Goliath ubuesques se fendent. Elle a entendu dire qu'on ne peut survivre dans cet endroit si sacré, qu'une puissance te repousse, sans fin, et que devant un tel paysage, tu n'as qu'une seule envie, celle de mourir.

Son c½ur se dit « C'est comme ça que je dois mourir ! », son c½ur lui dit « C'est comme ça que tu dois mourir ! ». A tournoyer dans le ciel du soir, une ombre chinoise contre ce soleil qui se jette dans l'océan. Océan en corps à corps avec ce crépuscule safrané. C'est comme ça qu'elle se tuera, dans sa robe blanche, à s'envoler à chaque pas, comme une petite lumière insaisissable. Sa danse légère comme frontière à ces deux mondes, éternise cette union impossible. Chacun à ses meurtres, ses guerres, ses trahisons, ses apogées bien trop souvent glorifiées. Et c'est ainsi qu'elle meurt, ne sachant de quel côté basculer, de quel côté tomber, elle meurt indécise, à la merci des éléments, tiraillée, disloquée, une vierge en haut de la falaise, qui se perd dans l'attente, dans sa robe blanche. Elle se sent pauvre de vie, elle cherche une issue, mais il n'y a rien, sinon la beauté de cet impitoyable territoire. Elle meurt de sa splendeur, cette splendeur qu'ont les ½uvres d'art qui ne peuvent exister qu'aux endroits où elles ont été créées. Ni le désert ni l'océan ne l'avait enfantée, et elle s'était perdue au seul endroit au monde où rien d'autre n'existait. Et même elle, elle ne pouvait pas. La grâce, la vérité de cet instant l'empêchaient de lutter. Et ce n'était pas si grave de périr de ce crime absurde, si elle pouvait mourir les yeux dans cet océan rougeoyant.

Elle ne voulait aucun retour pour eux, en elle c'était comme si des palais s'écroulaient, mais elle ne voulait pas quitter cet endroit, car elle s'y sentait princesse. Cet endroit sans foi ni loi, où deux infinis se donnent la mort.

Ce fut la première à périr.

Mais bien des années avant elle il y avait eu Thomas. L'affolé, l'halluciné, l'amour obsédé de Jana. Il dormait dans ses robes et elle rêvait dans son corps, tout deux la chair à vif. Mais quand il croyait en la magie, ce n'était pas grâce aux yeux de Jana, c'était quand il voyait ces hommes partir, mais ne pas revenir. Toute la magie du monde est dans ces traces de pas qui ne font pas demi-tour. Qui y a-t-il de plus affolant, de plus hallucinant, de plus obsessionnel, de l'autre côté ? Et quand il faisait l'amour à Jana, il cherchait en vain cette terre nouvelle dans ses yeux, et il devait se retenir de pleurer. Il n'a laissé aucun mot, aucune trace, et Jana l'attend toujours. Tout ce qu'il reste de lui c'est son avion s'enfonçant dans le ciel, la dernière image de lui, que seul Anton, de son phare, a vue. Thomas s'en allait dans ce minuscule avion pour ne laisser aucun pas, pas même ceux d'un homme qui partait. Mais partout, à perte de vue, il n'y avait personne, pas un homme, pas un frère, rien, pas même un pas, une trace. Où sont passés les hommes ? Il avait envie de s'en arracher la peau, où sont mes frères, ces frères d'armes, mes compagnons de bataille, où sont-ils, comment sont-ils ? Comment sont mes frères ? C'est ce que son c½ur lui hurlait « Comment sont mes frères ? ». Et il n'avait aucune réponse, aucun écho, pas un signe, alors il avait voulu rentrer, trouver un phare, celui d'Anton. Il voulait repartir en courant, laisser des traces, qu'on retrouve ce petit garçon qu'il était et qui n'aurait pas du essayer de devenir grand. Mais son avion s'affolait, suffoquait. Thomas cherchait un phare, mais il ne trouvait que des étoiles. Cet homme s'est perdu dans le ciel et il y est encore, mais le plus horrible c'est qu'il est encore en vie, Jana le sait.

La malédiction veut que celle qui périra des années après lui soit du même sang quel la femme qui le cherche toujours. Léona a perdu la vue sur ces terres désastreuses, mais le plus fou, le plus persécuté, c'est cet aveugle. Cet aveugle qui l'embrasse une dernière fois. Seth, qui n'a aucune idée de son châtiment.

Sa vue, ce n'est pas à ce royaume qu'il l'a rendue, il l'a perdue, un jour en se réveillant, il ne sait plus quand. Mais depuis qu'il est entré ici, il voit. Il y a la perfection de ce moment devant ses yeux, ces deux arbres dans la chaleur, dans le ciel orange, dans l'air saturé, qui refusent de mourir. Et il aimerait pouvoir raconter la noblesse de cette vision, ces arbres agonisant, et derrière eux, le soleil en suspens au dessus du bord du monde. Comme s'il voulait qu'aucune nuit ne les recouvre. Si seulement quelqu'un pouvait comprendre. Il voit ça depuis des jours, il a perdu Léona des yeux, elle n'est plus au bout de ses doigts, ça fait des jours qu'il ne l'a pas touchée. Mais il voit, et ne comprend pas que c'est sûrement la plus cruelle des punitions. Alors bientôt en haut de la dune, il y aura cet homme le torse tatoué de soleil, comme un roi mage d'une religion oubliée. Il cherchera des yeux les arbres, cette nature démolie qui le hante. Et il ne trouvera que des bateaux échoués en plein désert, des bateaux dévorés par l'eau, gisants dans cette poussière brûlante. Le désert est le cimetière de la mer, voilà ce que lui dit son c½ur « Je suis dans un cimetière ! ». Et c'est à ce moment là, quand il s'apercevra que sa fin est proche, il verra la vérité. Un enfant endormi sous une couverture de lumière agressive, qui lentement ouvrira les yeux, et le regardera. Un enfant les joues cramées par le soleil, la peau poussière, en haillons. Seth avait l'habitude de toucher les gens, de les sentir, mais pas de les regarder, et encore moins de les voir le regarder. Il ne connaissait pas les regards. Et dans ce cimetière bouillant, il verra le premier regard du monde, le plus sincère, le plus bouleversant, et le plus cruel. Le regard d'un enfant qui a tout compris, un regard qui lui dira la vie. Et dans son corps des palais s'écrouleront, mais ce regard existera toujours, il survivra. Mais Seth ne rentrera pas, il aura vu. Et alors il aura cette splendeur qu'ont les ½uvres d'art qui ne peuvent exister qu'à l'endroit où elles ont été créées. Et s'il rentre chez lui, c'est sûr, il se brisera.

Tu regardes un de ces enfants dans les yeux, et il fait de toi un homme. Cet enfant qu'il voit, c'est l'instant où les émotions sont vraies, l'instant où tout peut se briser, mais que l'on est invincible. Cet endroit choisi ses héros, le Ciel, le Désert et l'Océan se font la guerre sans fin, mais il arrive que des hommes, les plus fous, y trouvent une trêve.
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#Posté le vendredi 08 mai 2009 18:57

01.05

J'aimais ces soirs tragiques, où les cigarettes étaient mes seules confidentes. /// Dans une salle de main, une jeune fille en caleçon et débardeur blanc. Elle est assise sur les toilettes le caleçon baissé, ses coudes sont appuyés sur le lavabo juste en face d'elle. Une main pend pitoyablement dans le lavabo et l'autre s'accroche à ses cheveux. Cheveux châtains, sales, insignifiants, arrachés un à un, ils lui tombent sur les épaules jusqu'à la poitrine. Ses pieds tapent une cadence nerveuse sur le carrelage blanc, au loin, pas un bruit. Parfois elle secoue lentement sa tête de droite à gauche, les sourcils froncés comme si elle ne savait pas quelle direction choisir, perdue, suppliciée, parfois même elle s'en mord les lèvres jusqu'au sang. Quand elle ouvre les yeux, son regard s'en va, il s'échappe et construit en face d'elle une véritable fresque baroque que personne d'autre ne verra. Dans le clair obscur de la pièce, un corps inanimé, effleurant la vie, s'estompe lentement dans le c½ur du monde, qui grouille de vie. Dans le clair obscur elle ne comprend plus rien, se demande si elle n'est pas plutôt la dernière forme de vie sur ces terres mortes. /// C'était comme des fusées. Des feux d'artifices sans couleurs, rugissant. Ca sortait de son corps de toutes parts. Pas un pore n'était épargné, pauvre esquintée. Son c½ur était comme un ballon troué, et l'air qui s'en échappait lui transperçait la poitrine. C'était comme des fusées en travers de son anatomie défaillante. Elle transpirait, essayait de colmater chaque brèche, et s'étranglait, essayait d'étouffer chaque vol, et se décourageait, elle ne pouvait plus se toucher. Chaque rafale repoussait toujours plus loin ses mains, ravageait toujours plus frénétiquement son corps. Elle ne pouvait pas retenir tout cet air qui s'écroulait le long de sa robe. Elle n'aurait bientôt plus rien à respirer et tout ce qui l'obsédait était ce corps, son corps, sur lequel elle n'avait jamais pu poser que les yeux. Ce corps qui se vidait, s'éloignait, sombrait, lentement, et qui cependant ne pouvait cesser d'exister. /// L'hiver avait trépassé, tu naissais. Et elle, elle faisait déjà partie de ces immortels qui se réveillent la nuit, et qui se mettent à genoux face à la lune. Et crient presque « Ô Soma ô Soma ! », tous possédés qu'ils sont. Elles étaient de ces mangeurs d'hommes, elle les enlevait pour les jeter dans des tempêtes. Une mangeuse d'hommes, voila ce qu'elle était, et toi, tu naissais. Tu n'étais qu'un gosse au crépuscule de l'innocence enfantine, tu naissais, tu n'étais qu'un gosse. Et elle, elle avait déjà tout vu. Elle était à la recherche de nouveaux territoires, toi tu ne connaissais que celui de ton appartement. Elle avait tout vu, et toi tu n'avais pas encore ouvert les yeux. Mais sa peau blanche se fracassait contre les rochers. /// _... _Je sais très bien qu'Aaron ne m'aime pas vraiment. Qu'à chaque fois qu'il me regarde il y a le fantôme de Belle entre nous deux. Et je ne me sens jamais plus désemparée que pendant ces instants, elle est encore là, partout, et je ne peux pas lutter contre un martyr. Parce que oui, ils en ont fait un martyr, elle les fascine tellement que ça devient une sorte d'obsession obscène. Elle est devenue la sacro-sainte. Moi je ne suis que le souvenir, la dernière image qu'ils ont d'elle, je suis son éternité à elle. Et si parfois tu veux penser à ta mère, l'imaginer, regarde moi, on avait le même visage. Elle avait les joues un peu plus grosses, un regard méchant et un petit grain de beauté juste là, dans le cou. _... _Et je sais que tu es en colère. Qu'une douleur fulgurante te transperce de bas en haut, sans arrêt, juste au niveau du c½ur. Je sais que tout ce que tu voudrais c'est la vomir aussi violemment que tu peux, cette douleur. Je sais aussi que tu n'y arrives pas et que ça te rend fou. Tu te sens piégé dans la camisole de cette traitresse de chaire, et tu n'as plus qu'une seule envie, celle de crier à n'en plus finir, jusqu'à te laisser vide. Et même ça tu n'y arrives pas parce que tu penses que personne ne t'entendrait. Et cette folie désagréable qui te ravage ne s'arrête plus de grandir. Encore et encore. _... _Et je sais tout ça parce que j'ai du le subir. Parce que ta mère, ma s½ur, me faisait le même effet, elle n'essayait pas de te sauver, elle n'essayait même pas de se sauver elle-même et je la haïssais tellement pour ça. Et j'étais comme toi, à vouloir vomir, à vouloir crier, à vouloir m'éviscérer. _... _Alors je priais. Toujours sous les rails du métro, juste quand il passait. Parce que ça me dissuadait de hurler, je pensais qu'avec ce déferlement au-dessus de ma tête, personne ne pouvait entendre mes cris. Absolument personne. Et si je priais, c'est qu'il y avait une ridicule chance pour que quelqu'un, comme ça, m'entende. /// PATCHWORK ///
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#Posté le dimanche 07 juin 2009 19:10

22.49

16 octobre

1094
: Le concile d'Autun, où sont réunis trente-deux évêques, prononce l'excommunication de Philippe Ier, roi de France.
1793 : La reine de France Marie-Antoinette est guillotinée.
1806 : La guerre éclate entre la Turquie et la Russie.
1854 : Naissance d'Oscar Wilde
1914 : Première transfusion sanguine directe de la Première Guerre mondiale réalisé à l'Hôpital de Biarritz.
1923 : La société Walt Disney est créée.
1940 : Le ghetto de Varsovie est créé par les Nazis.
1946 : Exécution des criminels nazis condamnés au cours du Procès de Nuremberg.
1962 : Naissance de Michael Balzary
1964 : La Chine fait exploser sa première bombe atomique et devient la 5e puissance nucléaire mondiale.
1973 : Maynard Jackson, premier Noir à être élu maire aux États-Unis, à Atlanta
1978 : Le cardinal polonais Karol Wojtyla, archevêque de Cracovie, est élu pape et devient Jean-Paul II
1989 : Une petit fille sort du ventre de sa maman
1991 : Au Texas, un forcené tue 22 personnes dans un restaurant, avant de se suicider.
2002 : La Corée du Nord déclare aux États-Unis qu'elle possède un programme secret d'armement nucléaire.
2003 : Les 15 membres du Conseil de sécurité des Nations unies approuvent à l'unanimité la résolution américaine visant à obtenir des troupes internationales et de l'argent pour participer aux efforts de reconstruction en Irak.
2007 : Bertrand Cantat, chanteur de Noir Désir sort de prison de manière conditionnelle après 4 ans de détention


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#Posté le lundi 22 juin 2009 16:49

Modifié le mardi 23 juin 2009 11:01

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